Que l’on soit porteurs de projets, fondations, associations, particuliers, etc., il n’est pas toujours facile de trouver un moyen pour avoir le financement nécessaire pour lancer un projet. Heureusement, avec l’évolution d’internet et de la nouvelle technologie, il est désormais possible de faire une sorte de levée de fonds via la toile. Il s’agit du crowdfunding à Madagascar. Il est nécessaire de faire un petit focus sur ce nouveau mode de financement qui est de plus en plus en vogue.
Qu’est-ce qu’un crowdfunding ?
Signifiant « financement par la foule », le crowdfunding est un mot d’origine anglaise. Il a comme principe de faire une récolte de fonds qui seront plus tard utilisés pour financer un projet quelconque. La somme réunie pourrait aussi servir d’aide pour ceux qui sont dans le besoin. Les donneurs ou investisseurs peuvent être des particuliers, des associations, des groupes, des sociétés, etc. Les demandeurs d’aide peuvent également être des particuliers, des associations, et bien d’autres encore.
Donc, ni les porteurs de projets ni ceux qui leur apportent des aides ne peuvent pas être obligatoirement des investisseurs aguerris. Ils peuvent aussi être des personnes qui souhaitent tout simplement soutenir une cause, un projet, etc. Grâce à l’effet multiplicateur, les porteurs de projets peuvent réussir à obtenir des fonds conséquents. C’est pour cette raison qu’on parle aussi de financement participatif.
Le crowdfunding à Madagascar consiste habituellement à créer une sorte de cagnotte en ligne et y faire participer tout le monde. Comme ce concept n’est pas encore très connu dans le pays, il est nécessaire de le booster en faisant un maximum de partage et une campagne de communication.
En quelque sorte, le crowdfunding se présente comme étant un moyen de financement alternatif. Il permet d’avoir un moyen pour financer un projet dans le cas où les banques en sont réticentes.
À qui s’adresse le crowdfunding ?
Habituellement, le crowdfunding à Madagascar est associé aux projets innovants et aux startups. Et pourtant, il peut servir à d’autres personnes et permet de soutenir plusieurs causes. Dans tous les cas, ce type de concept permet de mobiliser plusieurs participants autour de valeurs unificatrices. En voici quelques exemples :
- soutien pour la cause écologique ;
- solidarité suite à un sinistre ;
- soutien pour une cause relative aux droits humains ;
En même temps, le porteur de projet qui a pris l’initiative de faire une levée de fonds via un crowdfunding à Madagascar peut profiter de l’occasion pour se faire connaitre. Il peut créer une relation plus rapprochée avec ses cibles.
Comment réussir un crowdfunding à Madagascar ?
Avant même de parler de communication, etc. il est nécessaire de noter que la réussite d’un crowdfunding à Madagascar se repose sur le bon choix de la plateforme sur laquelle mettre la cagnotte. Comme il peut en exister plusieurs sur la toile, le mieux est d’opter pour celle qui répond à quelques critères dont : la fiabilité, l’efficacité et la sécurité. Le site Koti-kota.com répond justement à ces paramètres. De plus, il est accessible à tout le monde. Il ne requiert pas de connaissance particulière. Tout le monde peut y concevoir une cagnotte ; et cela, quelle que soit sa nature (aide aux sinistrés suite à une catastrophe naturelle, soutien pour un projet de création d’une infrastructure, aide pour une personne malade, financement d’un projet personnel ou collectif, et bien d’autres encore).
En outre, le crowdfunding nécessite aussi un important travail de communication. Pour ce faire, le porteur de projet doit utiliser tous les moyens dont il dispose : réseaux sociaux, connaissances, médias, etc. Le but est de susciter l’empathie des internautes afin qu’ils puissent, à leur tour, mobiliser leurs entourages.
Il ne faut pas non plus oublier de créer un lien de confiance avec le public cible. Cela permet d’accroitre les chances de réussir à obtenir les fonds indispensables dans le délai prévu.