La France vit depuis la rentrée 2025 un épisode politique d’une rare instabilité. Démissions, remaniements express, motions de censure en série : le pays semble gouverné au rythme de la panique parlementaire plutôt qu’à celui de la raison économique. Sébastien Lecornu, brièvement écarté avant d’être reconduit Premier ministre, incarne cette valse des certitudes qui inquiète les marchés comme les épargnants. Et dans cette tempête institutionnelle, un repère demeure : l’or.
La politique tremble, la confiance s’évapore
Chaque changement de gouvernement, chaque fronde parlementaire, chaque réforme suspendue creuse un peu plus le fossé entre les citoyens et leurs dirigeants. Les investisseurs, eux, connaissent la loi immuable du capital : l’argent fuit toujours l’incertitude.
Selon une étude récente de la Banque de France, la confiance des ménages dans la politique économique nationale est tombée à un plus bas depuis 2013. Les marchés obligataires, eux, réagissent déjà : l’écart entre les taux français et allemands s’élargit, signe que les investisseurs demandent une prime de risque plus élevée pour prêter à la France. Et pendant que la classe politique se déchire, le métal jaune, lui, poursuit tranquillement sa marche vers les sommets.
L’histoire le prouve : l’or prospère dans le désordre
À chaque crise politique majeure, l’or retrouve son rôle originel : celui de monnaie universelle, apolitique et incorruptible. En 1968, alors que Paris s’embrasait, le cours de l’or a bondi de 20 % en quelques semaines. En 2016, après le Brexit, il gagnait 9 % en un mois. En 2025, face aux remous institutionnels européens et à la paralysie budgétaire française, il a déjà progressé de près de 18 % depuis janvier, flirtant avec les 2 900 € l’once.
« L’or est le thermomètre de la confiance : plus la politique déraille, plus sa valeur monte », résume sobrement l’économiste Philippe Herlin, auteur de La fin des banques centrales.
Car là où les gouvernements promettent, l’or prouve.
La débancarisation : une riposte citoyenne
Cette instabilité politique ne fragilise pas seulement la confiance dans l’État, elle remet en question le système bancaire lui-même, devenu le prolongement direct du pouvoir. Les restrictions sur les retraits, la surveillance accrue des comptes et les annonces de « contribution exceptionnelle sur le capital » alimentent la défiance.
C’est dans ce contexte que des acteurs indépendants comme Jouvenetconseil.com, société d’achat de pièces d’or à but d’investissement, connaissent un essor fulgurant. L’entreprise accompagne désormais ses clients dans un processus de débancarisation complète, en les aidant à matérialiser leur épargne hors du système traditionnel. Son nouveau pôle dédié à la sortie d’argent des banques illustre un mouvement de fond : les Français veulent redevenir maîtres de leur patrimoine.
Même aucoffre.com, référence historique du stockage sécurisé, observe une ruée vers les coffres : “Chaque fois que le climat politique s’assombrit, les particuliers cherchent la sécurité du tangible”, confiait récemment son fondateur.
Le vrai luxe de 2025 : posséder quelque chose de réel
L’époque où un livret A suffisait à rassurer les épargnants est révolue. Aujourd’hui, la stabilité ne se mesure plus en taux d’intérêt, mais en capacité de détention réelle. Car on ne réforme pas la valeur intrinsèque d’une pièce d’or, on ne nationalise pas un lingot, et aucune motion de censure ne peut en effacer la brillance.
L’investisseur lucide l’a compris : la crise politique n’est pas une menace, mais un signal d’achat.
L’or n’appartient à aucun parti, n’obéit à aucune banque, et ne subit aucune réforme. C’est la seule richesse qui ne dépend d’aucune promesse.
L’État change, les monnaies se déprécient, mais l’or demeure
Les gouvernements passeront, les plans de rigueur succéderont aux promesses électorales, et les budgets seront encore « gelés » au nom de la discipline budgétaire. Mais dans cinquante ans, une pièce Napoléon 20 francs, une Souverain britannique ou un Louis d’or conserveront la même fonction qu’aujourd’hui : protéger ceux qui ont compris avant les autres que la stabilité n’est pas un décret, mais un métal.
Dans un monde où tout vacille, l’or reste la seule constante. Et face à l’instabilité politique chronique, c’est peut-être bien le dernier vote qui compte vraiment : celui que vous exprimez en achetant de l’or.